Bibliographie Herta Lebk
Jac Belaubre, catalogue de l’exposition Galerie Vialetay 1976
Pierre Brana et Dominique Cante.
Catalogue de l’exposition au Domaine de Lescombes 2003
Françoise Garcia, Véronique Schlitz et Dominique Dussol
Textes pour le catalogue de l’exposition « Herta Lebk l’intranquille» à la Galerie Guyenne Art Gascogne
Editions , Le Festin, Bordeaux 2014
PRESSE
« Un symphatique vernissage au château de Bazens », 25 octobre 1972
« Derrière la finesse de l’artiste perce la sensibilité extrême de la femme; sa production d’une égale qualité lui vaudra vraisemblablement de nombreux lauriers. »
« L’exposition Bellan-Lebküchner: des oeuvres difficiles, mais prenantes », La Dépêche du Midi 27 octobre 1972
« Lebküchner reste très germanique dans sa peinture et ses couleurs sont plus violentes. La sonorité de ses gouaches éclate. Ses rythmes sont heureux. »
P. Paret, Sud Ouest, Février 1975
« à vrai dire, on est un peu étonné par autant de puissance, autant de solidité dans la construction et de sûreté dans le geste. »
J.Bouret, Les Nouvelles Littéraires, 5 juin 1976
« Herta Lebk, Galerie Vialetay. Personne ne connait cette artiste. C’est pourtant un merle blanc chez les merles noirs. Il faut l’aller voir de toute urgence pour s’assurer que la vraie peinture n’est pas morte. »
P.Paret, « Herta Lebk au Fleuve, un monde menacé »Sud-Ouest 9 février 1979
« La peinture de Herta Lebk n’est jamais gratuite. Entendez par là que Herta peint par nécessité, parce qu’elle a des choses à dire et qu’elle les dit avec une sobriété de moyens qui n’exclut pas une certaine véhémence. »
J.Belaubre, La Vie de Bordeaux, 16 février 1979
« La palette demeure d’une rare distinction et va jusqu’à lancer ça et là, quelques défis toujours terminés par des victoires. »
D.Dussol, « Herta Lebk, peintre du clair-obscur », Sud-Ouest 18 octobre 1986
« ..elle a le don de faire glisser des particules de lumière dans la pénombre, de ménager des passages aux ombres portées qui contrebalancent une composition sans faille. »
D.Dussol, « Des audaces », Sud-Ouest 23 juillet 1987
« …elle parvient à ranimer des espaces intérieurs à saisir des errances, à capter des humeurs; les tableaux d’Herta n’étant pas des oeuvres qu’on voit, mais des oeuvres qu’on ressent. »
« Deux peintres, deux oeuvres différentes », Sud-Ouest 24 juillet 1987
« Herta Lebk nous présente en dix-huit toiles et quelques sérigraphies sa vision très personnelle des objets de la maison avec ses diverses natures mortes mais aussi des paysages…. »
L’Oeil, Novembre 1989
« En un temps où la femme écrivain ou artiste « libérée », aime à étaler ses tripes au soleil, Herta Lebk a choisi, elle de s’exprimer mezza voce sur le ton de la confidence. »
D.Dussol, « Dans les galeries », 28 février 1990
« Mais ne vous y trompez pas, tout ce que l’on serait tenter de prendre pour un lyrisme spontané est en réalité le fruit d’un travail mesuré, maîtrisé, qui n’a d’autre but que de nous communiquer les sensations éprouvées par le peintre. »
D.Dussol, Artension septembre-octobre 1990
« Le geste incisif libère des petits cris stridents, des plaisirs de gribouillis comme des grands coups de bourrasques qui vous mettent de la pagaille dans le jardin. »
D.Dussol, « Les galeries du mardi », Sud-Ouest 13 décembre 1994
« Car Herta qui a la main verte, ne représente pas un paysage mais nous en donne une idée. Elle installe un climat ou chacun peut accrocher ses propres rêves. »
A.Maisonneuve, « Arizona dream », Sud-Ouest avril 2014
« La palette d’Herta Lebk agence les touches ocres et les teintes vives, presque acidulées selon une rythmique subtile. »
L.H, La Gazette Drouot, 9 Mai 2014
« La découverte du Colorado et du Grand Canyon renouvelle sa vision qui s’empare de son caractère théâtral. Sa palette développe des rouges, des orangés énergiques brossés sur une surface découpée en fragments irréguliers. »
X.Rozan, Le Festin été 2014
« L’artiste se confronte aux paysages bruts et démesurés du Grand Canyon, minéraux, telluriques, arides, profus en anfractuosités et en enchevêtrements….Herta Lebk recompose, rassemble, emboîte, coud les morceaux de la plénitude du désert… »